Cancel culture,
harcèlement et diffamation

Ma liberté de penser et de m’exprimer me coute très cher.

Depuis que j’ai pris position sur le sujet de l’identité de genre avec un regard critique, que je dis que pour moi être une femme n’est pas un ressenti mais une réalité biologique, je suis terriblement harcelée et diffamée par de nombreux transactivistes, des féministes dites “‘intersectionnelles”, ainsi qu’une partie de la presse de gauche. Je subis la cancel culture.

Sur Femelliste, je décris comment ce harcèlement a vu le jour.
J’y raconte l’histoire de mon harcèlement. J’explique qui me harcèle historiquement et pourquoi.

Avec la militante féministe Marguerite Stern, co-fondatrice de Femelliste, nous avons aussi décrypté 14 techniques de harcèlements subis, avec screenshots à l’appui : diffamations et fausses accusations, injures et messages haineux, menaces et tentatives d’intimidations, traque en ligne, violences physiques et matérielles, messages violents dans l’espace publique, accusations de violence, cancel culture, censure des plateformes, pertes de contrats, etc…

Je subis entre autre du wiki-harcèlement. Ma page Wikipédia a été ré-écrite de façon totalement orientée par des transactivistes, en faisant fi de la neutralité soit-disant requise par la plateforme. Ces personnes anonymes qui éditent ma page s’appuient sur des articles diffamants de médias d’extrême gauche qui insinuent que je serais “proche de l’extrême droite” (ce qui est faux et diffamant ), que je ferais la promotion des pseudo-sciences (faux, dans mon documentaire, j’ai interviewé des médecins reconnus et des scientifiques et mon livre “A fleur de pet” est désormais une référence sur le SIBO pour de nombreux médecins).

Certains médias qui diffament à mon sujet, comme c’est le cas de Libération, refusent de publier mon droit de réponse à leur article, ce qui est illégal et hautement immoral. Ainsi, des insinuations fausses et diffamantes de médias malhonnêtes sont publiés sur ma page Wikipédia comme si il s’agissait de sources valables et nuisent à ma réputation. Pour en savoir plus sur le Wiki-harcèlement que je subis, article ici.

Je subis aussi la censure des plateformes. Twitter, Instagram, Linkedin censurent régulièrement mes posts car ces plateformes sont pro-identité de genre et exercent une grave censure sur ceux qui n’ont pas un discours “conforme” à leurs opinions. En savoir plus ici.

J’ai aussi subi la cancel culture de plusieurs marques partenaires avec qui je travaillais. Car les transgenristes harcèlent parfois les marques avec qui je fais des partenariats. Leur stratégie est de dénoncer ma soi-disant transphobie en interpellant les marques de différentes façons afin de faire en sorte que les partenariats soient annulés. Certaines marques cèdent aux pressions et s’en servent même pour communiquer sur le fait qu’ils sont pro-idéologie transgenre. En savoir plus ici.

Du cyber-harcèlement au harcèlement judiciaire

En Février 2023, deux associations LGBT, qui représentent Marie Cau et Hanneli Escurier, deux personnes trans, dépose une plainte abusive contre moi, pour “Injures et appels à la haine transphobe”. Pourquoi? Car j’ai qualifié Marie Cau “d' homme transféminin” et Hanneli Escurier de “femme transidentifiée”. Décrire la réalité biologique serait selon eux une injure transphobe. C’est le premier procès en France pour “mégenrage”. Le procès risque de faire jurisprudence. En savoir plus sur la plainte et sur le harcèlement judiciaire que je subis.

Pour que je garde une parole libre et la possibilité d’exercer mon bon sens sans censure, face à un fonctionnement qui n’aura bientôt plus rien à envier à 1984 de Orwell, vous pouvez me soutenir en me faisant un don sur Tipeee ou sur Paypal. Merci.